Ce que vous ne deviez pas râter
Mon petit top 5 des moments qui ont marqué l’édition 2015 du festival côté musique. De Faada Freddy à Nik Bärtsch en passant par Stephan Eicher.
Nik Bärtsch vide ses poches
Rencontre avec l’énigmatique pianiste qui s’est produit au Temple hier soir.
Transe à deux batteries, piano et clarinette basse
Le Cully Jazz est l’occasion de se rappeler qu’il faut savoir ne pas emprunter les passages obligés. Alors que la foule se pressait à la grande messe des automates de Stefan Eicher se préparait dans le Temple une invitation à la méditation.
Quand le jazz croise le fer avec le classique
Thierry Lang avait exploré le registre folk. Hier soir au chapiteau, c’était au tour de Ligeti et Mozart d’être joué et honoré par des jazzmen!