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Ce que vous ne deviez pas râter

Mon petit top 5 des moments qui ont marqué l’édition 2015 du festival côté musique. De Faada Freddy à Nik Bärtsch en passant par Stephan Eicher.

    1. FAADA FREDDY
      La découverte de l’année. Un vrai moment Cully Jazz Festival: on y va par hasard, car il fallait bien commencer à aller voir un concert. Mais, dès les premiers sons, on sait qu’on ne va pas repartir. Les six chanteurs font voler en éclats tout les clichés qu’on peut avoir sur le beatbox. Tous plus talentueux les uns que les autres. Un petit bonheur qui a placé la barre haut pour les concerts suivants.
    2. ELECTRIC EPIC
      Kidnappés dès le début, on a comprit qu’ils n’allaient pas nous laisser une minute de répit. On a déploré que le saxophone soit parfois un peu noyé par la basse et la batterie, mais c’était juste pour qu’il revienne de plus belle, sans nous laisser le temps de penser. Tout à coup, ils font semblant de disparaître dans les loges, annonçant la fin. Ouf. Mais après seulement 30 secondes de silence, c’était repartit encore plus fort.
    3. L’AFTER AVEC SHAI MAESTRO, LISA SIMONE & CO AUX CAVEAU DES VIGNERONS
      La soirée avait déjà bien commencé avec quelques saxophonistes prometteurs s’en donnant à coeur joie quand elle a descendu les quatre marches du caveau avec Hervé Stamb. Shai Maestro les a rejoint pour la fin de la jam. Encourageant tous les musiciens à s’exprimer, Lisa Simone s’est livrée avec le même plaisir à la communion créative qu’au Chapiteau quelques heures plus tôt. L’équipe du caveau, pourtant habituée aux événements de la sorte, a confirmé la qualité de la soirée qui a duré une bonne partie de la nuit.
    4. DEJEUNER EN PAIX DE STEPHAN EICHER
      Cette programmation en a surprit plus d’un, mais l’artiste a prouvé qu’il savait se réinventer tout en réussissant à contenter ses fans venus pour entendre leur titre favori. On se souviendra du dialogue décontracté qu’il a instauré avec la salle. C’est surtout très émouvant d’entendre en live des morceaux qui ont accompagné une bonne partie de notre vie.
    5. NIK BÄRTSCH
      Un piano, deux batteries, des percussions, une clarinette basse. Des arrangements lumineux qui épousent le son des instruments. La batterie est douce, la clarinette profonde. Nik Bärtsch, maître de cérémonie au piano, donne la couleur et nous entraine dans une contemplation à demi-consciente. S’il nous en sort quelques instants plus tard, ce n’est que pour nous emmener de plus belle dans son univers aux sons mystiques.

Quel sont vos moments incontournables de l’édition 2015?

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