Bin, bonnard les jeunes.
C’est pas pour dire, mais la moyenne d’âge était quand même sacrément pas très haute si on y pense: entre Rusconi, Gilles et Joshua Redman qui va sur ses quarante balais, il est définitivement pas mort du tout ce jazz.
Autre point de comparaison marrant: les manières de s’exprimer entre les morceaux: en français fédéral d’une part, en vaudois timide et ému de l’autre, en anglais pour s’excuser d’une mémoire défectueuse (accordé) finalement.
Enfin bon quoi, c’était grandiose. Rusconi n’a plus rien à envier à leurs mentors de Bad Plus (si vous les avez raté passez au PROGR de Berne le mercredi 22 avril), l’éclate totale. Gilles a confirmé son talent, allégrement réussi cette étape tant symbolique pour lui (merci au public d’avoir bien voulu se réveiller un peu sur la fin)… Et puis Joshua Redman, mon Dieu, son batteur, mon Dieu !
All that Jazz … all these pictures, by Didier Jordan (as usual)
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