Conversation spontanée avec une festivalière passionnée de musique et originaire du Brésil au Caveau des Vignerons, tandis que le Matthieu Llodra Trio s’accorde une pause méritée entre deux sets inspirés. Michèle est une habituée du Cully Jazz et y revient chaque année pour découvrir de nouveaux artistes et rencontrer des amis mélomanes ou musiciens. Elle a débuté cette édition sur une note mélancolique, en assistant au concert de Lady Bazaar, qui rendait hommage à son défunt chanteur charismatique, vendredi au Club. A la fin du week-end, elle partage avec nous un peu de la magie de Cully, en nous gratifiant d’un sourire magnifique.
Le Cully Jazz Festival en un mot
Diversité culturelle
Un concert de la programmation 2017 auquel assister au 1er rang
Les Amazones d’Afrique, c’était magique!
Un morceau lié au Cully Jazz Festival
Un titre de Matthieu Blanc, chanteur et bassiste du groupe suisse Lady Bazaar. Un ami très proche, décédé il y a deux semaines, auquel ses musiciens ont rendu hommage en ouverture du festival. C’était très touchant.
Un artiste de jazz à faire tourner sur ses platines
Il y en a plein. Surtout des artistes londoniens et ceux d’ici aussi.
Une photo à prendre avec son smartphone
Un portrait devant les caisses à raisin, à l’entrée du village, avec les noms des musiciens.
L’objet du parfait festivalier
Le verre consigné noir avec un dessin de piano. Il est superbe!
La gourmandise pour calmer la grande faim ou la petite soif
Du saucisson, du fromage et du vin. C’est ça aussi le festival: profiter des bonnes choses.
Une anecdote à partager sur le Cully Jazz
En fin de soirée, où l’on se retrouve seule à attendre le bus et que le dernier est déjà passé… Heureusement, il y a toujours une bonne âme pour vous ramener en voiture à la maison!
