Trois premiers morceaux. Pas de flash. Faire vite. Hop, Hidden Orchestra dans la boîte.
Vite, au Temple. Trouver une place. Peu de lumière, et en plus trop loin de la scène, ça ne va rien donner. Tant pis, il faut immortaliser ce moment comme on peut.
Se laisser déconcentrer par la musique. Se laisser prendre au jeu.
Tant pis pour le dessin.
Une fois de plus, je me suis fait avoir par Julien Lourau. Comme en 2005. Comme en 2008 avec Bojan Z déjà. Un jour, il faudra bien que je lui dise comme il a changé ma perception du jazz.