J’aime le sax.

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C’était probablement la soirée que j’attendais avec le plus d’impatience cette année. Fichtre, j’ai pas été déçu. Et la fête a même été encore plus belle que ce que j’avais pensé !

Ça a commencé au Chapiteau. Scusatemi ragazzi, sara per la prossima volta… Petite fierté, grande joie: je les avais invités il y a 2 ans au OFF, les revoilà à ouvrir pour cette sublime soirée dans un Chapiteau à moitié plein, mais dans un Chapiteau quand même. Etoile filante lancée dans un ciel chargé, volant depuis la capitale pour traverser le firmament culliéran, pommelHORSE rebondit devant un parterre médusé et incrédule. Je rate probablement 4 morceaux, le temps de faire l’aller et retour de rigueur là-haut. Désolé les gars, ça sera pour la prochaine fois… Mais quand je reviens, tout a pris, tout est envoyé, ça secoue. C’est trop court, fatalement. On a pas toute la nuit. Enfin… Vous n’avez pas toute la nuit.

Pis après, après. D’abord de front, pour rien perdre du visuel, puis par le côté, pour rien perdre des sentiments. Ils débarquent sur scène comme des enfants lâchés dans un parc de jeu qui auraient pile une heure à disposition pour s’égayer. 5 premiers rangs en communion. Intensité comme prénom, Puissance comme nom de famille. Les cousins s’appellent monsieur Ludique et madame Jouissance. Les mots manquent, tâcher de décrire serait inversement proportionnel à comment c’était cool. Une véritable boucherie.

Secoué, hagard, plus envie d’écouter de musique. Une tisane et au lit ? Bon ok, on regarde encore comment ça se passe par là-bas. Tobias, mann, qu’est-ce que tu nous a fait là ? Des covers jazz toi ? Hé, pourquoi pas. Avec une troupe pareille, tout passe bien de toute façon. Schöne Sache. Et pis hop, un autre sax. Marcel Lüscher et ses YUM YUM YUM son bien au chaud au Sweet, et je prends les restes, le rab, celui qui traîne peu avant une heure du mat’.

On y est, on y reste ?

Posté par Bureau
samedi 13 avril 2013
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