La face d’un tonneau en fond de scène, un vieux pressoir en guise de régie son, le caveau Das Schlagzeug est pourtant très différent du caveau Potterat. Fiona Rossi, une des deux responsables, nous en parle.
Ce caveau, c’est chez toi ?
Non, contrairement à plusieurs caveaux, nous ne sommes pas propriétaire des lieux, c’est une salle communale, un ancien pressoir qui n’est plus en fonction depuis longtemps.
Pendant le Cully Jazz, nous sommes deux responsables de ce caveau. J’ai commencé ce boulot, il y a deux ans, lorsque l’ancien responsable de ce caveau m’a demandé si cela m’intéressait. À l’époque, je servais dans un autre bar et je voulais plus m’impliquer dans le festival, alors j’ai accepté.
Quel est l’histoire de ce caveau ?
Moi-même, je ne la connais pas très bien puisque je suis ici seulement depuis l’année dernière. Il existe depuis longtemps, mais sous un autre nom. Depuis l’année dernière, il s’appelle le caveau « Das Schlagzeug », qui veut dire batterie en allemand. Il avait été nommé à l’origine pour rappeler le coté un peu rock de la musique qui passe ici, mais cette année il fait particulièrement référence à l’origine des groupes qui s’y produisent, puisqu’ils sont quasi tous de Suisse-Allemande.
Ce soir, le caveau est fermé, qu’est-ce qu’il y avait hier au caveau Schlagzeug ?
C’était l’EJMA, l’Ecole de Jazz et de Musique Actuelle, donc ça n’illustre pas bien le concept de programmation de cette année, haha. Cela s’inscrivait dans l’après-midi du Week-End Famille du Cully Jazz. Les élèves de l’école y ont fait des reprises de morceaux connus.
Un Slogan ?
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