Cully, entre notes sublimes et fragilité

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Ouah, les articles de presse sont franchement élogieux ce matin!

Arnaud Robert, qui a couvert quotidiennement le festival pour Le Temps, ne tarit pas d’éloges sur la programmation musicale et les moments exceptionnels qu’a offert le Cully Jazz a un public hélas moins nombreux qu’à l’accoutumée. Il faut dire que les éléments se sont déchaînés, comme l’indique Boris Senff dans 24Heures: 7 jours de pluie sur 9, c’est dur!

Un déluge de jazz mal récompensé, titre 24Heures. (…) Une très belle cuvée artistique, des musiciens exceptionnels et de nombreuses découvertes se succédant sous un Chapiteau que la pluie faisait tambouriner.

Pour Le Temps, voici le sens profond des cette 24e édition: Cully ne doit pas changer. Structurellement, au niveau de sa capacité, de son organisation, le festival a atteint un équilibre que beaucoup de manifestation lui envient. (…) Cette formule, on le sait désormais, reste d’une fragilité extrême.

Ben non, on ne va pas changer l’essentiel! On va rester fragiles, comme des êtres vivants! C’est la seule garantie que nous ayons pour que les rencontres se fassent, pour que la magie opère encore, pour que vos yeux brillent toujours! Promis.

Posté par Bureau
lundi 3 avril 2006
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